Makers ? Kézako ? Je vous mets la définition Wikipédia ce sera plus simple (oui aujourd’hui je suis flemmarde je l’avoue) :
La culture maker (de l’anglais make, lit. faiseur) est une culture (ou sous-culture) contemporaine constituant une branche de la culture Do it yourself (DIY) (qu’on peut traduire en français par « faites-le vous-même ») tournée vers la technologie. La communauté des makers apprécie de prendre part à des projets orientés ingénierie. Les domaines typiques de ces projets sont donc l’électronique, la robotique, l’impression 3D et l’usage des machines outils à commande numériques (CNC) mais également des activités plus traditionnelles telles que la métallurgie, la menuiserie, les arts traditionnels et l’artisanat. La culture met l’accent sur une utilisation innovante de la technologie et encourage à l’invention et au prototypage. Une attention toute particulière est portée à l’apprentissage de compétences pratiques et l’application de ces dernières de manière créative. La culture maker est née aux États-Unis et a été popularisée en Europe plus tard.
L’éco-création fait donc partie du mouvement des makers. On fabrique, on prototype, ce n’est pas forcément électronique, ou même fait à partir d’outils nouveaux, mais c’est une forme d’artisanat. On teste, on bricole et on pense à notre avenir.
C’est un peu la partie « nature » et « roots » du mouvement des makers.
Les nouveaux outils et l’éco-création :
Oui, mais… Je pense qu’on peut et qu’on doit aussi se tourner vers les nouvelles technologies lorsqu’on fait de l’éco-création. Les imprimantes 3D sont des outils merveilleux lorsqu’on veut réparer quelque chose auquel il manque une partie qui n’est pas vendue en pièce détachée. On imprime donc la pièce, pas besoin de l’acheter. Elle peut aussi être utile lorsqu’on veut avoir quelque chose qui vient de l’autre bout du monde et suremballer. Au moins c’est plus local et sans emballage ! En plus maintenant il existe des machines pour recycler le PET et le transformer en plastique imprimable. Il y a également des recherches sur des impressions écologiques.
Il y a pas mal d’électronique à connaître si on veut avoir une maison moderne et indépendante (si on veut la faire soi-même). Rien n’empêche donc de recycler de vieux ordinateurs pour les détourner et en faire autre chose… Comme une imprimante 3D !
Je compte m’inscrire à un FabLab pour apprendre à maîtriser tout ça et probablement vous faire des tutos, en espérant qu’il reste de la place pour septembre.
Et vous, pour ou contre les nouvelles technologies associées à l’éco-création ?
2 Comments
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Associons aussi les nouvelles technologies; moi, je suis béninois (Afrique de l’ouest) et je suis un polytechnicien (mécanique, électricité, électronique, électrotechnique, mécatronique, robotique, informatique et programmation) qui aimerais bien participer à l’actualité de votre site…
Bonjour Christian, avec plaisir, n’hésites pas à m’écrire sur pour qu’on puisse en discuter.